Les jolis mots – Septembre 2018

Hello Fairies!

Je vous retrouve pour le rendez-vous des citations du mois! C’est une idée empruntée à Priscilla et Mélanie que j’ai mise en place en janvier sur le blog. Je vous réunis dans cet article quelques citations qui m’ont marquée au cours de mes lectures du mois d’avril, qu’elles m’aient choquée, indignée, fait rire, pleurer, sourire, elles m’ont fait réagir et j’avais envie de les partager avec vous!

« N’oublie pas que derrière chaque nuage se cache un ciel bleu. » Secondes Chances de Marie Gufflet, p397

 « Non, se reprit-il. Il ne reviendrait pas en arrière. Ce n’était pas une envie de vivre, pas comme autrefois. C’était un feu sans chaleur, une étincelle blafarde, comme celles qui s’allumaient dans les cimetières. C’était une envie de combattre. De résister avant de se rendre à la nuit. » Les Seigneurs de Bohen d’Estelle Faye, p150

« Sigalit comprit qu’il n’y avait pas que la magie, que les golems qui pouvaient abattre les grilles du ghetto. Il n’y avait pas que les chiens de guerre et la poudre qui pouvaient renverser les seigneurs et les maîtres. Il y avait la colère, et il y avait l’espoir. » Les Seigneurs de Bohen d’Estelle Faye,  p350

« […] n’étaient pas des secondes peaux pour elle, plutôt des théâtres d’ombres, des commentaires ironiques qu’elle adressait à un monde qui ne l’accepterait jamais telle qu’elle était vraiment. » Les Seigneurs de Bohen d’Estelle Faye, p352

« Comme le vif-argent, elle transmutait en chaleur et lumière l’amertume grise de l’existence. Comme lui aussi, elle pouvait tuer. » Les Seigneurs de Bohen d’Estelle Faye, p352

« – Moi, en attendant d’être mort, j’espère qu’on sera vivants. » Sirius de Stéphane Servant p37

« Avril eut l’impression de dormir quelques secondes à peine, le temps d’un battement de paupières, de la chute d’une étoile, d’un baiser sur le front d’un enfant. » Sirius de Stéphane Servant, p120

« Il y avait donc des choses que la misère ne parvenait pas à enlaidir. La musique en faisait partie, Avril en était convaincue. » Sirius de Stéphane Servant, p283

« Kid avait alors compris que la beauté ne pouvait pas se départir de la liberté. Comme si la liberté était l’essence même de la beauté. » Sirius de Stéphane Servant, p340

Bonne lecture!

Xoxo!

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